PÂQUERETTE
Il était une fois dans un pays lointain une princesse appelée Pâquerette. Elle avait les cheveux blonds avec une queue de cheval, des jolis yeux noisette, un collier de diamants et une robe verte. Elle vivait dans un énorme château mais ne connaissait pas ses parents. Elle vivait avec Snarf son petit dragon de compagnie. Ils s’aimaient beaucoup. Snarf pouvait cracher des petites flammes grosses comme le bras d’un homme.
Un matin, en prenant son chocolat chaud, pendant que Snarf se grillait des toasts à petite flamme, un garde comme d’habitude vint apporter le journal. Elle lui demanda si c’étaient des bonnes ou des mauvaises nouvelles. Il lui répondit, qu’à part sept princes, cinq princesses enlevées et trois reines et deux rois morts dans les royaumes voisins rien de spécial .Dans la journée train-train quotidien 3 maisons en feu, 5 bâtiments s’écroulent, une belle fissure dans l’aile gauche du palais.
Mais aujourd’hui ce fut un jour spécial, très spécial. Elle devait aller voir un prince du royaume voisin et là ce fut le coup de foudre. Lui n’en éprouvait pas moins. Mais le soir à 21 heures 32 minutes 41 secondes toutes les horloges du château du prince explosèrent. Des ronces poussèrent. Du feu surgit. Le château commença à tomber.
Une sorcière apparut et sans dire un mot prit le prince et monta sur son énorme dragon et s’envola. Des énormes ronces poussèrent derrière elle. Pâquerette sauta sur Snarf et la course-poursuite commença.
La sorcière ne savait pas que Pâquerette la poursuivait. Snarf crachait des flammes et brûlait des ronces. Quand la sorcière se sentit assez loin elle jeta un sort au château. Tous les serviteurs étaient devenus ses esclaves. La sorcière remarqua la présence de Pâquerette et Snarf et fit pousser un petit trèfle qui devint rapidement un trèfle gigantesque.
« Snarf, ou est le papier, que je rédige mon testament ! »
« Il n’y en a pas !»
BOUM ! Le choc fut terrible. Snarf partit à la renverse et passa au dessus du trèfle qui commençait à rapetisser. Pâquerette ne passa pas au dessus. Elle prit sa jupe pour amortir la chute. Pas de chance, elle atterrit sur un taureau. Le rodéo commença. Pâquerette ne lui fit pas de quartier. Elle s’accrocha au taureau. Il courut et freina net. Pâquerette se retrouva le nez dans la boue, derrière une rivière et trouva des drôles de fruits.
Elle en goûta en et le trouva délicieux. Elle en prit plein et continua son chemin. Elle arriva dans des marécages et vit de tas de grenouilles et au milieu dans une cage, elle vit Snarf. Elle dit aux grenouilles :
« Redonnez moi Snarf ! »
Les grenouilles dirent :
« On l’a trouvé, il est à nous.»
Pâquerette fit tomber un fruit de sa robe. Le chef de grenouilles dit :
« Montre ce fruit ! »
Elle lui donna et lui dit :
« Je te l’échange contre ton dragon et une potion qui rend temporairement invisible. »
« Oui !» lui dit-elle.
Elle alla ensuite dans le foret avec Snarf. Là elle tomba sur un poulet géant. Snarf cracha une flamme dessus et demanda à Pâquerette :
« Bleu, saignant ou à point ? »
Le poulet leur dit :
« Pitié, laissez moi vivre ! Je peux vous ramener dans la grotte de la sorcière ! »
Snarf lui laissa la vie sauve et ils montèrent sur son dos. Mais pendant que Snarf et Pâquerette étaient sur le dos du poulet, la sorcière dit un sort qui empêchait toute magie dans sa grotte. Ils ne le savaient pas donc Pâquerette but de la potion et en donna à Snarf. Ils allaient dans la grotte de la sorcière. Mais vu qu’ils étaient visibles la sorcière appela son ord de dragon en disant :
« Snarf et vous autres, à l’attaque ! »
« Adieu Pâquerette », dit Snarf.
« Adieu Snarf, » dit Pâquerette.
Le chef des dragons dit :
« Si tu t’appelle Snarf alors tu es…mon fils ! »
A ces mots il cracha une gigantesque flamme sur la sorcière. La sorcière était tellement brûlée qu’il ne restait que ses cendres. Ce furent des retrouvailles chaleureuses. Pâquerette retrouva le prince et le libéra. Ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants. Snarf aussi se maria avec la petite dragonne du prince et eut beaucoup de bébés dragons.
Sébastien 6° C